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SENATOR SMITH: Let me ask what the effect was, upon the stock of the International Mercantile Marine Co., of the information published in the Wall Street Journal on Monday?
MR. FARRELL: As I remember it, the stock declined about two points. I think we have a record of it in the bulletins here. I am quite sure we have.
SENATOR SMITH: If you can give that accurately, I would like to have it.
MR. FARRELL: I know that from time to time during the day we published it. Here it is: International Mercantile Marine; common 2,100 shares were dealt in; opened at $6 a share. The high was $6; the low was $5.50; the close was $6.
SENATOR SMITH: That was on Monday?
MR. FARRELL: Yes; there was no net change. The preferred opened at 20, rose to 23 1/2, and closed at 23%. That was off seven-eighths for the day, net.
SENATOR SMITH: What time does that indicate that the exchange opened?
MR. FARRELL : Ten o'clock. The movements occurred between 10 A.M. and 3 P.M., so that there was that substantial change in the market value.
SENATOR SMITH: I take it from the publication which you manage that you are somewhat familiar with the movements of stocks.
MR. FARRELL: Yes, sir.
SENATOR SMITH: What, in your opinion, was the effect upon the market value of the stock, both preferred and common, of the International Mercantile Marine Co., of the reports printed in the Wall Street Journal and upon your bulletins and ticker tape that day, giving assurance of the safety of the Titanic?
MR. FARRELL: There was, you might say, virtually no market influence, because the trading was very light, and, as I just pointed out, the net change in the trades for the day on the preferred was only seven-eighths down and there was no net change for the common. At one time the preferred was down about three points. It was down about three points from the previous day's close and then recovered. The transactions were comparatively light and it really seemed to have very little market.

LE SÉNATEUR SMITH : Permettez-moi de demander quel a été l’effet sur la cote boursière de l’International Mercantile Marine Co., des informations publiées dans le Wall Street Journal lundi?
M. FARRELL: Si je me souviens bien, la cote a diminué d’environ deux points. Je pense que nous en avons fait état dans les bulletins. Je suis tout à fait certain que nous l’avons fait.
LE SÉNATEUR SMITH : Si vous pouvez me donner des chiffres exacts, j’aimerais les avoir.
M. FARRELL: Je sais que, de temps à autre, pendant la journée, nous l’avons publié. Le voici : International Mercantile Marine; 2.100 actions ordinaires ont été négociées; ouverture à 6 $ l’action. Le plus élevé était de 6 $; le plus bas était de 5,50 $; le plus proche était de 6 $.
LE SÉNATEUR SMITH : C’était lundi?
M. FARRELL: Oui, il n’y a pas eu de changement net. Le produit préféré a ouvert à 20, est passé à 23 1/2 et a fermé à 23 1/8. C’était 7 huitièmes de retard pour la journée, net.
LE SÉNATEUR SMITH : À quelle heure cela indique-t-il que l’échange a commencé?
M. FARRELL: À 10 heures. Les mouvements se sont produits entre 10 heures et 15 heures, ce qui a entraîné un changement important de la valeur marchande.
LE SÉNATEUR SMITH : D’après la publication que vous gérez, vous connaissez un peu les mouvements des cotes.
M. FARRELL: Oui, monsieur.
LE SÉNATEUR SMITH : À votre avis, quel a été l’effet sur la valeur marchande des actions, tant privilégiées que communes, de l’International Mercantile Marine Co., des rapports publiés dans le Wall Street Journal et de vos bulletins et de votre bande-témoin ce jour-là, en donnant l’assurance de la sécurité du Titanic ?
M. FARRELL: On pourrait dire qu’il n’y avait pratiquement aucune influence sur le marché, parce que les échanges étaient très faibles et, comme je viens de le souligner, la variation nette des échanges pour la journée sur le marché préféré n’était que de sept huitièmes de moins et il n’y avait aucun changement net pour le marché commun. À un moment donné, la préférence était d’environ trois points. Elle était d’environ trois points de moins que la veille, puis elle s’est rétablie. Les transactions étaient relativement légères et il semblait y avoir très peu de marché.
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